C’est le bronx sur Ghosar Quintus. La population ainsi que l’inquisiteur Chaegryn et la Kill Team Excis ont succombé à une influence étrangère. Un « Empereur à Quatre Bras » a fait son apparition sur cette planète.
La Kill Team Cassius, composée des Astartes les plus dangereux de la galaxie, part sur Ghosar Quintus pour purger la planète !
Vous aimez Space Hulk ? Vous aimez le culte Genestealer ? Vous aimez les brutes de la Deathwatch ? Vous êtes un ancien fan de Games Workshop ? Et bien cette boite va peut-être vous intéresser. Voici un rapide unboxing de Deathwatch Overkill, en attendant le test.
Deathwatch Overkill « Culte Genestealer ? »
Dans les dernières versions du Fluff, les Genestealers et leurs cultes attirent les flottes ruches Tyranides sur les planètes pour qu’elles puissent absorber tout les êtres vivants y habitant.
Après avoir voyagé dans un Space Hulk, le Genestealer s’installe dans l’endroit le plus désert et éloigné de la planète. Il se lance à la chasse à l’humain afin d’en affecter un maximum pour se créer des esclaves. Au fur et à mesure, l’ADN se mélange et les enfants des humains hybrides infectés sont gardés cachés.
Après un certain temps, le culte Genestealer se fait passer pour une nouvelle religion inoffensive et louable. A mesure qu’elle croît en puissance et influence, la religion attire des convertis loyaux qui n’ont aucune idée du sinistre piège se cachant derrière. L’hybride prend son temps pour éviter de se frotter à l’inquisition.
Après des années de cultes, les hybrides sont virtuellement impossible à distinguer des humains normaux. C’est à ce moment là que le culte commence à étendre son pouvoir sur la planète.
L’hybride gagne des pouvoirs hypnotiques lui permettant de gagner de nouveaux membres pour le culte.
Les autres hybrides de quatrième génération quittent la protection rapprochée du culte et, déguisés en diplomates, missionnaires religieux, marchants ou autres voyageurs, répandent l’infection sur la planète ciblée.
Dans ce cas de figure, la seule solution pour stopper l’infection est la stérilisation de toute la planète, tuant toute forme de vie à sa surface.
Afin d’éviter cette ultime solution, au moindre soupçon, l’inquisition envoie la Deathwatch pour éliminer le mal à la source.
Le contenu de Deathwatch Overkill
Deathwatch Overkill est un jeu de plateau pour deux joueurs, qui retrace les exploits de la Kill Team Cassius pendant sa campagne sur le monde minier de Ghosar Quintus.
La boite contient 50 figurines en plastique Citadel :
- un Genestealer Primus, un Genestealer Magus et deux Familiars;
- 2 Purestrains Genestealers
- 4 Aberrants
- 28 Genestealers Hybrids (12 Acolytes Hybrids de 1re et 2e génération et 16 Neophytes Hybrids de 3e et 4e génération)
- un Genestealer Patriarch
- 11 Deathwatch Space Marines, issus de dix chapitres différents
La boite se compose aussi de 8 dalles double face illustrées, 6 dés, une réglette, une notice pour le montage des figurines et un livre de règles contenant les missions.
Le livre d’instruction est super.
Les socles mettent de suite la pression. Il faut faire un gros effort de modélisme pour profiter de ce jeu.
Avec Games Workshop, on sait qu’on aura du matériel de qualité. Le problème, c’est que contrairement à un Zombicide, vous allez devoir donner de votre temps avant de pouvoir y jouer correctement. Il va vous falloir monter (et peindre) toutes les figurines de la boite.
Les figurines du culte !
Les membres de la Deathwatch
La notice de montage qui fait mal à la tête.
Il va y avoir du boulot !
Les dalles me font beaucoup penser à celles de Space Hulk 2009. J’ai compté 9 missions différentes dans le livre d’instruction. Il y a du fluff et de belles illustrations.
Si les Space Marines sentent le scratch et le fan service à plein nez, les figurines du culte Genestealer sont à la hauteur de nos espérances !
Mad Mads est déjà sur le montage de son exemplaire.
Et bim, on attendait ça depuis un moment !
Le Patriarch est vraiment top de chez top !
J’ai été étonné de voir que les Astartes de la Deathwatch étaient en noir. Je pensais qu’ils gardaient leurs couleurs d’origines et qu’ils portaient juste la fameuse épaulette indiquant qu’ils pouvaient être appelés pour effectuer des raids pour l’inquisition !
Des pages Eavy Metal qui font vraiment envie !
J’adore les couleurs de Drenn.
Conclusion
Une fois de plus, Games Workshop nous vend du rêve ! La boite est proposé à un prix assez élevé.
Mon problème est le suivant : comme pour mon Space Hulk 2009, c’est le genre de boite qu’on n’ose pas attaquer, car on a peur de rater son coup.
Pourtant, il va bien falloir monter et peindre toutes ces figurines ! Avec le Space Hulk 2009, vous avez le combo parfait pour jouer aux anciennes règles de Space Hulk ! On en rêvait, Games Workshop l’a enfin fait.
