Ni no Kuni (Playstation 3)

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Développé par Level-5 en collaboration avec les studios Ghibli.
Sortie Février 2013 sur PS3 uniquement.

« Mon enfant, pars à l’aventure, découvre le monde et fais de ton mieux pour aider ceux qui t’entourent. »

INTRODUCTION

Ni no Kuni est une sorte de rescapé des RPG nippons. Sorti initialement sur DS uniquement au pays du soleil levant fin 2010, il change de titre et est annoncé depuis 2008 sur PS3.

Rien que ça..
Pendant longtemps, cette fameuse association entre un studio de développement de jeu et le studio Ghibli n’était qu’un doux rêve que les fans d’animé et de RPG (souvent les memes ^^) faisaient éveillés, attendant depuis des années un retour au bon vrai RPG qui les fera s’émouvoir comme des petites biches des bois du sud..

Bref.

Après moultes repports, annonces foireuses etc, finalement attendions-nous réellement ce Ni no Kuni ? Oui quand même, rien que pour la curiosité du titre et de cette fusion entre deux studios passés maitres chacun dans leur domaine. Enfin surtout Ghibli, parce que Level-5 a quand eu quelques coquilles foireuses sur son chemin.

Allez, on plonge !

SCENARIO

Synopsis (je vous raconte la première heure de jeu en gros)

Olivier est un petit garçon de 11-12 ans qui vit avec sa Maman à Motorville, une ville de campagne tranquille où tout le monde se connaît. Lui et son ami Phil, comme une bonne partie de la ville, sont des passionnés de moteurs et de voitures. Phil a un côté mécano assez poussé et fabrique de ses petites mains une voiture de sport.

Un soir, ils veulent tester la nouvelle fabrication de Phil. Ils font tous deux le mur pour sortir de la ville et l’essayer tranquillement dans leur coin.
Malheureusement, lorsque Olivier la conduit, elle semble possédée et part direct dans les eaux de la rivière.
Visiblement en train de crever horriblement, Phil ne sait que faire et va chercher de l’aide.

La maman d’Olivier part le chercher et le sauve des eaux.
Mais elle succombera aussitôt après d’un arrêt cardiaque.

(ça commence bien :-§)

Olivier, dépité, s’enferme plusieurs jours dans sa chambre, pleurant tout ce qu’il peut. En pleurant, des larmes viennent s’échouer sur son doudou.

Ce dernier prend alors vie, et lui explique sous les yeux ébahis du gosse qu’il est une fée qui vient d’un autre monde, qu’il a reçu un sortilège d’un mage noir depuis des années et que son monde est lié à celui d’Olivier.
En effet, chaque âme de l’un des deux monde a son homologue ou « âme sœur » dans l’autre monde.
Lumi la fée dit à Olivier qu’il est certainement le sauveur de son monde et qu’il doit venir avec lui, qu’il pourra peut-être sauver sa mère s’il sauve son âme sœur dans l’autre monde.

Olivier prend son courage à deux mains et décide de suivre Lumi dans son monde pour sauver sa maman et voir de quoi il en retourne.

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Voilà le début de l’histoire.

Vous voilà en somme parti avec Lumi dans son monde.
Avec tout un tas d’aventures qui vous attendent, de visites, d’explorations et découvertes d’anciennes pratiques et civilisations et de rencontres incongrues.
On sent clairement toute la patte de Ghibli dans le scénario, qui part d’une petite histoire très commune pour faire d’un enfant le héros d’un monde magique où des animaux qui parlent rencontrent magiciens et sorciers, on ne s’en étonnera plus depuis le temps !

Bref, au cours de votre aventure, vous allez découvrir un peu ce qui se trame dans le cœur des gens. Certaines personnes semblent un peu « down » pour telle ou telle raison, et vous devrez aider un peu tout le monde comme un messie, tout en sauvant le destin funeste des deux mondes également qui partent en Z.

J’espère pour vous que vous avez l’âme d’un grand sauveur, sinon vous mourrez d’ennui.

Mon avis perso :

Un scénario gentillet, qui manque cruellement de souffle à certains moments du jeu, mais qui saura néanmoins vous tenir suffisamment en haleine tout du long tant le sujet traité est noble et intéressant.
Qui n’a jamais rêver de redonner un peu d’enthousiasme ou de courage dans le cœur de ceux qui en manque, en partageant celui de ceux qui ont un trop plein de ces émotions ?

Allez… tous les joueurs de RPG aiment ce genre de petites situations critiques où vous êtes seul à pouvoir aider tout le monde, on a, au fond, plus ou moins tous des âmes charitables. Défoncer des mobs ok, faire du levelUP et autres geekeries dans les RPG évidemment qu’on aime 😀 mais on aime avant tout la profondeur du scénario qui est proposé dans ce type de jeu.

Et là, je dois quand même dire que c’est globalement une réussite. Je préfère prévenir tout de même que le jeu se veut assez « jeune » dans le sens où l’histoire est censée devoir parler à des enfants de 10-15 ans avant tout, un peu comme le fait un Kiki, Nausicäa ou Laputa en leur temps. Mais la force de Ghibli (et de Level-5 pour le coup aussi), c’est justement de traiter d’un sujet difficile en l’amenant à un niveau touchant pour des adultes.
Car même si par moment on pourra trouver mille reproches de rythmes ou de dialogues nian-nian, on devra très largement admettre que cela fait un bon paquet d’année qu’on a pas vu un RPG nippon aussi bon, et j’inclus également Xenoblade et autres consorts qui avaient selon moi plus sur le papier que sur la galette.

Ici au contraire on sait.

On sait que le jeu sera un peu plus enfantin, qu’on s’embarque dans un jeu plus du côté Harry Potter / Kiki’s Delivery / Laputa, avec de la magie, des gosses, des dragons, des civilisations perdues, des quêtes sympas, plutôt que vers un Suikoden, un FFT, Xenogears, Vagrant Story ou quelque chose de plus dark encore.

Ceci étant dit, sachez qu’il vous faudra bien tout explorer et faire les quêtes annexes afin de voir bien tous les fils et explications scénaristiques du jeu. Prenez votre temps, c’est vraiment cool et c’est surtout un genre en voie de disparition, alors on y va tranquillou et on prend le temps d’apprécier 😉

GAMEPLAY / menus etc.

Bon là, vu qu’on est dans un RPG, on va diviser ça en plusieurs parties, sinon on va pas s’en sortir.

Les Contrôles de base :

Vous déplacez votre personnage principal avec le joystick PS3 gauche.
Vous accédez à votre menu principal avec triangle.
À n’importe quel moment, si vous appuyez sur carré, vous tomberez sur une liste de sorts utilisables dans la situation actuelle, c’est à dire hors combat. Certaines énigmes, coffres ou autres situations devront faire appel à votre bon sens tout simplement en usant du sort ou de l’objet adéquat.

A n’importe quel moment, vous pouvez faire pause.
Les sauvegardes se font soit sur la world map, soit aux points de sauvegardes dans les donjons. En ville cependant, vous pourrez sauvegarder n’importe depuis votre main menu.

A noter que comme dans tout bon RPG, pour vous déplacer, vous aurez au fur et à mesure de votre aventure toute sorte d’engin et choses qui vous faciliteront les déplacements, dont la téléportation, qui vous permettront d’accéder facilement et rapidement surtout à toutes les parties du globe.

Les « amis du cœur » ^^ :

Chaque personnage qui intègrera votre équipe et se joindra à votre aventure aura avec lui une sorte d’animal de compagnie, un mini monstre familier que vous pourrez faire évoluer, et qui se battra à vos côtés.

L’idée n’est pas nouvelle évidemment et n’est pas sans rappeler Pokémon, les Djinn de Golden Sun et d’autres titres.
Vos jauges de HP et MP sont liées à eux, et lorsqu’ils combattent, vous verrez apparaître un timing.

Des centaines de petits monstres comme ça se trouvent dans le monde de Ni no Kuni. Grâce à l’un de vos personnage, vous pourrez les apprivoiser pour les utiliser et les faire évoluer. Vous imaginez tout de suite ce qui va suivre :

chacune de ces petites bestioles entre dans une catégorie de combattant :

Vous aurez ceux balaises pour soigner et esquiver mais bidon pour taper, ceux qui taperont fort mais lentement, ceux qui seront un peu plus magiciens que tank etc etc etc…

Une infinité de possibilités existe dans votre roster de combattant, sachant qu’un personnage peut également se battre sans utiliser ces petits monstres, et qu’il peut « transporter » sur lui, 3 bestioles, qui pourront à volonté être changées dans les combats pour utiliser tantôt une capacité, tantôt une autre.

L’explication autour de ces créatures est assez sommaire je trouve, bien qu’on s’en fiche un peu en y réfléchissant bien, j’aurais aimé avoir quelque chose autour d’eux, plus qu’un mini speech de 2 minutes..

Anyway…

L’évolution de ces familiers se fait de deux façons différentes : vous pourrez leur ajouter des points de compétences en les faisant manger, et ils pourront évoluer complètement par 2 fois pour pouvoir obtenir plus de compétence et être meilleurs.

Ainsi, lorsqu’un familier arrive niveau 24-25, il pourra évoluer une première fois. Vous retomberez niveau 1, et lorsqu’à nous il arrivera niveau 34-35, vous pourrez le faire évoluer jusqu’à sa forme finale, et vous devrez recommencer alors son évolution finale du niveau 1.

Ça peut sembler long sur le papier, puisqu’en réalité, pour obtenir un familier niveau 60 avec sa dernière évolution vous devrez passer 25+35+60 = 120 niveaux, mais en fait, c’est assez rapide et surtout ça vaut le coup ☺

Pour faire évoluer les familiers, il vous faudra certaines orbes.

Les combats :

Qui dit RPG, dit combats. Vous n’y couperez pas dans Ni no Kuni.
Bien que le jeu se veut assez simple, vous devrez au cours des quêtes annexes, faire un peu de level up. Mais bon c’est pas méchant comparé à d’autres jeux du genre.

Donc.
Concernant les ennemis, ils sont tous visibles sur la World Map ainsi que dans les donjons. Difficile d’être pris en traitre : on est pas dans un vieux FF où les combats s’enclenchaient automatiquement une fois un laps de temps passé.

Les ennemis vous attaqueront s’ils « sentent » que vous êtes de leur niveau ou bien pas assez fort pour être fui.
Une fois dans leur champ de vision, vous serez poursuivi un certain temps. Si l’ennemi vous attrappe alors que vous êtes de dos, il gagne un tour au début du combat. C’est valable également à l’inverse si vous les prenez par surprise.

Donc le combat débute.

Vous choisissez d’abord le personnage avec lequel vous voulez combattre, avec R1 / L1. Puis soit vous lancez un de vos compagnons (les petits monstres), soit vous y allez seul sans eux.

De toutes manières, les combats sont en temps réels, pas au tour par tour, et vous pourrez changer ET de personnage ET du coup, de monstres en cours de combat, à n’importe quel moment.

Les commandes disponibles en combat dépendront des compétences que vous aurez ajouter sur vos familiers.

Chaque familier a ses propres compétences, son propre niveau d’évolution et donc vous pourrez vous faire un panel de compétences super pour ne jamais manquer de rien en cas de coup dur.

C’est assez libre comme système de combat et on aimera vraiment beaucoup la manière dont ont été pensées toutes les choses. Typiquement, lorsqu’un ennemi ou un BOSS prépare une attaque, vous pourrez annuler votre action en cours (touche « O ») et vous protéger ou bien contrer l’attaque et étourdir un temps l’ennemi.

Autre chose très bien pensée, c’est le côté tactique générale du jeu.

Vous allez non seulement pouvoir donner des ordres de combat à vos autres équipiers que vous ne dirigez pas, et qui se contenteront de suivre vos instructions, mais en plus de cela, la touche « triangle » donnera l’ordre à tout le monde d’attaquer, et la touche « carré », de défendre.
Ainsi, lorsqu’un BOSS prépare une grosse attaque qui fait mal, et bien… protégez tout le monde, pas seulement votre gueule ☺

Lorsque vous tapez les ennemis, des orbes tomberont de ce dernier.

Les orbes vertes vous redonneront de la vie, les bleues, de la mana, en live évidemment.
On regrettera une seule chose : les orbes Dorées.
Ces orbes, trop peu fréquentes, permettent à celui qui la ramasse de déclencher sa furie.

Car il n’y a aucun autre moyen de déclencher une furie.
C’est le seul point noir à mon sens du système de combat.

Quetes annexes et missions :

Nous y voilà..
Peu sont les RPG dont les quêtes annexes représentent un réel intérêt dans l’histoire et parfois c’est une motivation de dingue qu’il faut trouver pour effectuer celles-ci.
Ce n’est pas le cas de Ni no Kuni.

En passant chez « Quêtes express » dans les villes, vous aurez accès à tout un tas de quêtes et de missions.
Ce que j’appelle les missions sont en réalité des chasses de primes, il vous faudra débusquer des monstres parfois puissants pour revenir chercher votre prime, soit de l’argent, soit des objets avec des « tampons » dont nous parlerons plus bas.
Les Quêtes annexes apparaissent soit sur le tableau d’affichage chez quêtes express, soit, lorsque vous regardez votre map de la ville dans laquelle vous vous trouverez par exemple, en voyant des points bleu scintiller : ce sont des gens qui ont des quêtes à vous donner. Parfois ce sont de simples quêtes de sauvetage de cœur, une personne par exemple manque d’amour, et une autre personne peut vous en donner ailleurs, vous lui transmettez et tout d’un coup la personne va mieux, mais parfois c’est plus complexe.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il y a un réel intérêt dans les quêtes à aider ces gens. Chaque personne a une histoire courte à vous racontez sur elle, et 2 minutes plus tard, elle ira mieux parce que vous l’aurez aider.
Il est à noter que certaines quêtes annexes vous apprendront des choses sur l’histoire que vous ne saurez jamais si vous ne les faites pas.

Chaque mission ou quête, une fois terminée, vous apporte donc argent/ objets, mais surtout tampons.
Ces tampons remplissent des cartes, comme des cartes de fidélité en somme pour Quêtes express. Vous pourrez échanger des cartes complètes contre des bonus parfois débiles parfois vraiment cool. Si vous voulez par exemple pouvoir aller deux fois plus vite avec votre moyen de transport, ou bien pouvoir sauter avec Olivier, ou bien avoir plus de chances aux loots ou bien plus de facilité à apprivoiser les familiers, vous serez obligés de passer par la case « quêtes ».
Personnellement, je suis pas trop quêtes annexes à la base, mais bon là, je les ai toutes faites, de A à Z, et franchement ça passe non seulement vite, mais en plus je les ai trouvé vraiment très sympa.

 

Les Menus :

Hors combat, lorsque vous accédez à votre menu principal.
Vous pourrez y faire pas mal de choses utiles :
Voir vos objets, vos armes, vos compétences, consulter votre manuel du magicien (cet objet extrêmement utile et particulièrement intéressant dont nous parlerons plus bas), faire évoluer vos familiers en leur donnant des orbes correspondant à leur signe, les faire manger pour qu’ils gagnent des points de compétences, consulter les quêtes et missions en cours, et faire de l’alchimie en mélangeant des produits pour créer soit de la bouffe, soit des armes ou des pierres qui serviront à faire des armes…

Le menu est simple et très bien fichu, ce qui n’est pas dommage comme on dit, vu le temps qu’on y passe dans ces jeux.

L’almanach du Magicien :

Ecrit semble-t-il, il y a fort longtemps à l’époque des guerres runiques (je n’en dis pas plus), ce livre dont vous aurez à trouver les pages manquantes au cours de votre aventure vous apprendra beaucoup de choses.

Vous y trouverez les formules alchimiques des armes, la liste des objets, de la bouffe, les cartes du monde, des monstres du monde avec leurs points faibles, la liste des familiers, comment ils évoluent, un mystérieux alphabet et des petites histoires sous forme de conte pour enfant, donnant à la manière d’une fable, une morale à chaque fois.

Vous imaginez tout à fait que les pages manquantes que vous récupèrerez au cours de l’aventure viendront s’ajouter au moment opportun à votre livre, donc livez tout ça, ça change et ça vaut le coup !

Musiques / Sons :

Bon comment dire. Si je vous dis « Joe Hisashi », ça vous parle ?
Oui, certainement. Ce monsieur est le chef d’orchestre et compositeur attritré des studios Ghibli depuis le début il me semble, et nombreuses de ses compositions ne vous sont pas étrangères je pense.

Concernant Ni no Kuni, les musiques sont globalement une très belle réussite. L’esprit enfantin/innocent etc. de Ghibli y est très bien transcrit, tout autant que les moments darks du jeu.
On regrettera par contre la musique des BOSS qui n’est je trouve pas du tout assez pêchue.

A noter : voix jap, sous titres FR….. bah ça fait plaisir quoi.. Pas mal de dialogues parlés dans les scènes cinématiques. On s’y croit !

Replay value, temps de jeu

J’ai tout fait dans le jeu, je suis niveau 80 environ avec tout le monde, j’ai tapé le boss optionnel et terminé 99,9% des quêtes annexes (men manque 1 seule), et je suis à 63 heures de jeu.

Ceci ne compte pas la lecture des contes de l’almanach, que j’ai fait sans jeu allumé, avec mon almanach papier, fourni dans la version collector du jeu. Il fait 350 pages environ, donc si vous le lisez sur la TV, comptez environ 3-4 heures supplémentaires pour tout lire et profiter de tout le contenu.

Je ne me suis pas amuser à crafter en alchimie les armes ultimes du jeu, car je n’en est pas eu besoin..

En effet le jeu est malheureusement assez simple, le challenge quasi inexistant tout du long, donc inutile de vous imaginer en train de galérer sur un Boss hard etc.. vous n’êtes pas là pour ça, mais plutôt pour profiter de ce qui vous est raconté. Profiter de l’histoire et de l’ambiance.

Une fois le jeu fini, il ne vous restera plus qu’à le ranger jusqu’à la prochaine fois où vous voudrez le faire.

Il n’y a pas de mode Online, mais une fois le jeu terminé une première fois, vous allez faire une « sauvegarde complète » du jeu et de nouvelles quêtes et missions se débloqueront.

Il vous FAUT les faire, car elles vous apprendront pas mal de choses sur l’histoire pour certaines, et un passage en mode ONE PIECE est inmanquable à mon sens.

Avis général, conclusion

Ni no Kuni est un jeu comme on en voit peu de nos jours. Une sorte de rescapé du RPG, qui vient égayer vos soirées tout au long de l’aventure. Une certaine fraicheur se dégage du titre de level-5 et la patte du studio Ghibli, cette ambiance magique mêlant enfance, destin u monde, civilisation perdue/oubliée, sorciers et démons donne un cachet incroyable au jeu.

Pour moi, l’un des meilleurs jeu de la génération actuelle, sans doute.
A faire !

 

Les+

– Le juste équilibre entre un jeu trop long et un jeu pas assez long
– L’ambiance magique
– La taille du monde, ni trop petit ni trop vaste
– Les combats
– La patte graphique, c’est beau sa mère !
– Les musiques de manière générale
– La trame scénaristique
– L’almanach du magicien
– Les quêtes annexes et missions

Les –

– La chasse aux familiers
– Les orbes dorées trop peu présentes
– La musique des boss, assez moyenne
– L’alchimie, c’est chiant, comme toujours
– L’âge d’Olivier, qu’est ce qui empêchait qu’il ait genre 3-4 ans de plus..

 

@Minouche

Ni No Kuni - PS3

84%
84%

Un jeu comme on en voit peu de de jours. Et rien que pour ça, il est à faire. Un brin enfantin, une belle touch Ghibli assumée et un message passé plutôt fort et bien amené, Ni no Kuni est un must have.

  • Scénario
    7
  • Graphismes
    9
  • Durée de vie
    10
  • Intérêt général
    7.6
  • Notes des internautes (0 Votes)
    0
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A propos du gangeekeur

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