Bioshock Infinite – PS3

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Aujourd’hui, je vais vous parler du dernier jeu que j’ai terminé, Bioshock Infinite sur PS3. Sorti il y a maintenant 2 ans (mars 2013), je l’avais acheté en day one pour finalement à peine y toucher et le revendre un peu plus tard puis c’est en août 2014 que je le rachète à petit prix pour finalement le terminer en 2015.

Ramenez la fille et nous effacerons la dette

Autant le dire tout de suite, j’ai eu beaucoup de mal à accrocher à ce troisième Bioshock. Étrangement, je dirais que son ambiance m’a perturbée. Nous avons ici un univers haut en couleurs et ensoleillé qui tranche singulièrement avec le premier épisode qui était beaucoup plus sombre. Dans Bioshock 1, Rapture est une ville angoissante, glauque, humide où on peut se faire surprendre par les ennemis et les Protecteurs alors que sur Columbia la ville est remplie d’assaillants, il n’y a pas d’effet de surprise et pas cette sensation de devoir être aux aguets à chaque instant. Je l’ai trouvé trop bourrin pour un Bioshock. On se retrouve à affronter, entre autre, des Handymen et des Patriotes motorisés très résistants, on prend alors ses plus grosses armes et on dézingue tout puis on avance et hop c’est reparti pour un tour. C’est là aussi un autre défaut du jeu, il est très linéaire. Il n’y a pas (ou très peu) de place pour l’exploration et le fait de pouvoir faire apparaître une flèche vous indiquant le chemin vers votre objectif y est pour beaucoup. Alors certes on n’est pas obligé de la suivre mais dès qu’on est perdu on a tendance à se remettre sur ce rail que nous impose le jeu. J’attendais plus de subtilité, plus de réflexion et de stress. Concernant sa durée de vie, il est difficile de dire avec précision le nombre d’heures que j’ai passé dessus mais je dirais une bonne vingtaine. C’est une très bonne durée de vie pour un jeu aujourd’hui. Même si une fois fini il n’y a plus grand-chose à faire si ce n’est de trouver toutes les Infusions ou les Voxophones car c’est un des rares FPS à ne pas proposer de mode multijoueur.

Bioshock-infinite-screen-1Columbia, un eden en apparence qui cache nationalisme, ségrégation et oppression.

Le trailer du jeu, en anglais, histoire de vous mettre l’eau à la bouche.

Le Gameplay

Avant de parler de l’histoire, je vais traiter du gameplay. Pour les fans de la saga, très peu de changement. Notre héros a à sa disposition des pouvoirs (Possession, Baiser du diable, Corbeaux Meurtriers, Déferlante, Electroquartz, Charge, Impulsion et Retour à l’envoyeur) et des armes à feu que l’on trouve un peu partout ou sur les cadavres de nos ennemis. Assez tôt dans l’aventure vous vous retrouverez accompagné par Elizabeth. Celle-ci sera vraiment très utile à la progression et elle n’est pas une simple IA gênante façon Ashley de Resident Evil 4. Non, Elizabeth vous enverra de la santé, des munitions et des cristaux pour régénérer vos pouvoirs. Elle peut également crocheter des portes ou des coffres afin de découvrir des lieux secrets contenant objets cachés ou munitions. A un moment du jeu elle pourra également faire apparaître des abris pour vous protéger, des caisses de santé et même des robots ou armes automatiques afin de vous aider à exterminer vos assaillants. Non vraiment, Elizabeth est un personnage très utile, je dirais même la pierre angulaire du jeu. Au niveau des petites nouveautés à noter l’apparition d’un crochet sur le bras du héros, le Skyhook. Celui-ci est utile dans les combats au corps-à-corps mais permet également de s’accrocher aux rails de l’Aérotram afin de progresser dans le jeu. Un gameplay classique qui apporte très peu de nouveauté.

Bioshock-infinite-screen-2Le Skyhook ne sert pas juste à prendre l’Aérotram.

L’histoire

L’histoire est très complexe. Autant dire que quand on commence le jeu il vaut mieux s’y tenir car sinon on risque de perdre le fil et de ne rien comprendre et même comme ça il est assez difficile de comprendre tous les tenants et les aboutissants.

Bioshock-infinite-Booker-dewittNotre héros, Booker DeWitt, aura fort à faire sur Columbia.

Columbia est une ville flottante qui a été construite en 1900 par Zachary Comstock avec l’aide du gouvernement américain. Cependant, peu de temps après son lancement, la ville se révèle être un navire de guerre impliqué dans un incident international, la « Révolte des Boxers ». La ville se voit alors désavouée par le gouvernement des États-Unis. La cité se replie alors sur elle-même et se fait oublier du reste du monde pour vivre en autarcie. Plus tard, Booker DeWitt, détective et chasseur de primes mais également alcoolique et accro aux jeux d’argents au point de s’endetter, est contacté par un mystérieux personnage : Robert Lutèce. Celui-ci lui propose d’effacer sa dette s’il retrouve Elizabeth, une femme disparue il y a 15 ans et qui serait prisonnière sur Columbia. Le synopsis est plutôt simple, mais au fur et à mesure de notre progression cela va se complexifier.

Bioshock-infinite-screen-3Elizabeth a aussi besoin de tendresse dans ce monde de brutes.

Columbia est un peu une sorte de grande secte où le gourou est Comstock. Celui-ci n’hésite d’ailleurs pas à s’autoproclamer Prophète. Le jeu fait d’ailleurs beaucoup de références à la religion, et principalement la religion chrétienne avec par exemple la scène d’un baptême qui a créé la polémique aux États-Unis. D’ailleurs, sur la toile, beaucoup de personnes s’interrogent sur la possibilité que les développeurs d’Irrational Games soient anti-chrétiens ou non. Personnellement, je pense qu’il s’agit simplement d’une source inspiration, il n’est pas rare dans les jeux vidéo de s’inspirer de faits historiques ou de religions afin de donner plus de crédibilité et de repères aux joueurs. Ici Irrational Games utilise la religion chrétienne peut-être pour nous faire réagir (et c’est réussi) mais surtout pour donner un côté plus divin et mystique au jeu.

Bioshock-infinite-screen-4On remarque ici la référence à Marie et Joseph tenant l’enfant Jésus dans ses bras.

A un moment du jeu nous allons retrouver Elizabeth qui a été enfermée par Comstock. Celle-ci est protégée par un Songbird, sorte d’oiseau géant réagissant aux sons de la musique. Le Songbird est le geôlier mais également le seul ami d’Elizabeth. Booker va donc être pris entre deux feux, affronter l’oiseau géant pour se protéger ou l’éviter afin de ne pas froisser la demoiselle. La jeune femme possède également un étrange pouvoir, elle peut voir et traverser les dimensions. Et c’est là toute la complexité de l’histoire que je vais tenter de vous expliquer.

Bioshock-infinite-SongbirdIl y a un lien particulier entre Elizabeth et le Songbird.

Pour ceux qui n’ont pas fait le jeu et qui comptent s’y mettre je leur conseille de ne pas lire la partie en spoiler ci-dessous.

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Fly me to the moon

Comme dit en introduction, ici nous nous retrouvons dans une ambiance colorée et ensoleillée avec des couleurs chatoyantes et rassurantes. Tout est en cohérence avec Columbia qui est une ville flottante proche du soleil, donc très animée et pleine de vie. On remarquera d’ailleurs le soin apporté à la mise en scène et aux petits détails. C’est une ville vivante où chaque personnage a une chose à dire. Le jeu est vraiment magnifique, les particules, les textures, les jeux de lumières, tout est extraordinairement beau. La ville est magnifique et nous fait revivre la belle époque de l’Amérique des années 20.

Bioshock-infinite-screen-6Columbia, son air pur, son esprit de liberté et ses hot dogs.

La bande originale est composée par Gary Schyman, officiant déjà sur les deux précédents opus. On a donc ici un vétéran de la série qui maitrise parfaitement son sujet. Bioshock Infinite utilise également des morceaux déjà existants intégrant ainsi des musiques d’Ella Fitzgerald, Billie Holiday, Django Reinhardt, Cole Porter ou encore Billy Murray.

L’ambiance sonore est magnifique. Elle permet de se plonger directement dans le jeu par le biais de musiques des années 1910. Il y a ici une maîtrise parfaite du choix des chansons et de la composition pour transporter le joueur durant son périple. On a des thèmes vraiment disparates, passant de la joie et la bonne humeur nous donnant presque envie de chanter et de danser à des thèmes angoissants et stressants. Bravo Monsieur Gary Schyman, vous signez là une B.O. digne d’un film hollywoodien même si je n’ai pas noté de thème épique accentuant l’appartenance au jeu. Un thème qui nous ferait dire dès qu’on l’entend « Tiens, c’est Bioshock Infinite là ! ».

Un mot sur les doublages. J’ai fait le jeu en version française. Les doublages sont vraiment très bons et les voix bien en adéquation avec les personnages. C’est plutôt rare alors il est bon de le signaler. Pour information, Booker DeWitt est doublé par Guillaume Orsat qui a prêté sa voix a des acteurs comme Dwayne Johnson, Vin Diesel ou encore au personnage de Cole MacGrath d’inFamous, et Elizabeth est doublée par Kelly Marot qui a prêtée sa voix à Jennifer Lawrence, Hayden Pannetiere ou le personnage de Kairi dans Kingdom Hearts.

Nous avons ici une ambiance visuelle différente de celle de Rapture, certains vont aimer d’autres regretter. Je suis dans le deuxième cas et j’aurais préféré que Bioshock Infinite soit sorti avant les deux autres opus de la série. Cela n’empêche que nous tenons là une identité visuelle et sonore unique et magique et en parfaite adéquation avec la thématique du jeu, les personnages et l’ambiance de la ville de Columbia.

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Vous en voulez encore ?

Comme beaucoup de jeux modernes, du contenu supplémentaire est venu agrémenter Bioshock Infinite. Je vais tout de suite parler de Carnage Céleste (Clash in the clouds dans son nom original). Il s’agit simplement d’un ensemble de 60 défis dont le but est d’exterminer les vagues d’ennemis qui approchent. Un objectif facultatif genre « Tuer tous les ennemis uniquement avec la mitraillette » vient un peu pimenter le tout. A chaque vague terminée vous récupérez de l’argent qui permet ensuite de débloquer des artworks, des musiques du jeu, etc. Même s’il ne coûte pas très cher, 5€, il est complétement inutile et inintéressant.

Un second DLC est sorti un peu après, Tombeau Sous-Marin (Burial at the Sea pour les anglophones). Ce DLC est à faire après avoir fini l’histoire principale et celui-ci nous ramène à Rapture. Dans la première partie vous contrôlez Booker DeWitt épaulé par Elizabeth qui nous propose une mission : retrouver une certaine Sally. Peu de rebondissement dans cette partie, tout se passe dans les dernières minutes mais on retrouve la même ambiance que dans Bioshock 1 et ça c’est déjà pas mal.

Bioshock-infinite-screen-dlcElizabeth en femme fatale dans le DLC Tombeau Sous-Marin.

La deuxième partie de ce DLC nous place aux commandes d’Elizabeth. La jeune femme n’étant pas aussi vigoureuse que ce cher Booker nous avons là un gameplay beaucoup plus orienté infiltration qu’action. Il faudra se déplacer silencieusement afin de tuer nos ennemis sans se faire repérer. Nous aurons à notre disposition quelques armes dont une très utile, l’arbalète chargée de seringues tranquillisantes, ainsi que quelques pouvoirs hérités de Booker. Au niveau de l’histoire, on en apprend beaucoup sur les liens qui unissent les Protecteurs aux Petites Sœurs, qui ressemblent aux liens entre Elizabeth et le Songbird. Vraiment j’ai adoré cette seconde partie, très à l’opposé de ce que propose le jeu d’origine. Niveau durée de vie, je dirais 6 à 8 heures pour les deux parties, c’est plutôt raisonnable. Enfin raisonnable c’est relatif car ils sont quand même vendus 15€ pièce (soit 30€ pour les deux parties). C’est cher et il vaut mieux attendre une offre promo sur le PSN.

Et le marketing dans tout ça ?

Lors de sa sortie le jeu a bénéficié de deux éditions en plus de la version standard. La première intitulée « édition Premium », contient un exemplaire du jeu, un porte-clés en résine exclusif de 8 cm représentant la bouteille du Tonique « Corbeaux meurtriers », une lithographie publicitaire pour le Tonique « Baiser du Diable », un artbook de 64 pages, un code pour télécharger la bande-son du jeu, une figurine en résine de 25 mm représentant un Handy Man pour le jeu de plateau « The Siege of Columbia », trois DLC pour améliorer l’équipement dans le jeu et des thèmes pour console ou PC.

Bioshock-infinite-premium-edition

La seconde édition intitulée « Ultimate Songbird » comprend tout le contenu précédent en y ajoutant une figurine en résine de 25 cm représentant le Songbird du jeu.

 

Bioshock-infinite-collector-Songbird

A noter que pour la précommande du jeu chez Micromania vous pouviez avoir un steelbook. Un autre steelbook était disponible pour toute précommande chez Future Shop au Canada.

Bioshock-infinite-steelbookLe steelbook offert chez Micromania.
Bioshock-infinite-steelbook-2 Celui de Future Shop.

Et puis pour le côté rare et plus difficile à trouver, une petite présentation du Press Kit. Celui-ci est contenu dans une enveloppe en provenance directe de Columbia et à destination de Booker DeWitt.

Bioshock-infinite-press-kit-1

Il s’agit d’un magnifique coffret en bois identique à celui remis à Booker dans la scène d’introduction du jeu.

Bioshock-infinite-press-kit-3Le contenu du Press Kit.

Bioshock-infinite-press-kit-5L’ouverture du coffret dans le jeu.

A l’intérieur de celui-ci on trouve différents éléments en rapport avec le jeu : une photo d’Elizabeth, 3 documents au format carte postale, une affiche de Comstock, une réplique de la clef cage d’oiseau présente dans le jeu, des stickers, des badges, un dossier de presse en noir et blanc d’une vingtaine de pages contenant le synopsis du jeu ainsi que quelques informations générales et une clé USB de 2 Go en forme d’hostie.

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Nous pouvons trouver ensuite différents goodies liés au jeu. Et si l’envie vous dit de vous prendre pour Booker DeWitt vous pouvez également faire l’acquisition d’un Skyhook. Fabriqué par la société Neca, sachez que cette réplique à l’échelle 1 : 1 à l’aspect plastique est « motorisée ». Celui-ci vous sera livré dans une boîte collector qui rappelle l’emballage de la statue du Songbird présent dans la version collector, le tout pour la modique somme de 79,99$.

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Pour les fans de figurines vous trouverez des répliques des différents personnages du jeu. : Elizabeth, Booker, un Patriote Motorisé et un Garçon du silence. Ces figurines mesurent entre 15 et 30 cm.

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Parmi les figurines plus collector il y a la statue concept « Columbia welcomes you ». Cette statuette de 36 cm est limitée à 1 000 exemplaires. On trouve aussi une figurine limitée à 250 exemplaires représentant les Lutèce et une figurine de 30 cm d’Elizabeth dans sa version « Tombeau Sous-Marin » limitée à 400 exemplaires.

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Et puis si vous avez du mal à vous endormir le soir il vous reste aussi la peluche du Songbird.

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Vous pouvez également essayer d’acquérir les mêmes pouvoirs que Buker DeWitt en buvant le contenu de ces différentes répliques des Toniques du jeu.

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Pour les adeptes de jeu de plateau il y a « The Siege of Columbia ». Vous y contrôlez les Fondateurs ou la Vox Populi dont le but du jeu est relativement simple : dès lors qu’une faction dispose de dix points, la partie s’arrête. Les points s’acquièrent en réalisant des objectifs donnés et en contrôlant des zones de la carte. Pour rappel, une petite figurine en résine est présente dans la collector du jeu vidéo.

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Un peu de lecture maintenant avec ce guide collector uniquement en anglais. Edité par Brady Games, ce livre est de très bonne qualité avec une couverture rigide sur laquelle est imprimée un Songbird légèrement dorée. Le guide fait environ 270 pages et propose un cheminement complet du jeu avec des cartes détaillées et des astuces pour franchir certains passages. Il détaille les Toniques et les armes du jeu et dispose d’une section consacrées aux succès/trophées. Ce guide collector est vendu avec deux goodies : une carte à jouer exclusive ainsi qu’une réplique de la clef cage d’oiseau présente dans le jeu.

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Vous pouvez également trouver « The Art of Bioshock Infinite ». C’est un artbook de 184 pages édité par Dark Horse Comics. Cet ouvrage luxueux dispose d’une couverture rigide dorée et d’un papier de haute qualité. Ce livre regroupe les dessins de production et les concept-arts qui ont servi aux équipes du studio Irrational Games pour réaliser le jeu.

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Il y a encore d’autres objets autour du jeu et pour les intéressés, sachez que certains sont encore disponibles sur le shop d’Irrational Games : http://store.irrationalgames.com/store/tk2irr/list/categoryID.67968100/sort.t2ReleaseDate%20descending,displayName%20ascending

 

Et après ?

En janvier 2009 le président de 2K Games, Christoph Hartmann, indiquait que l’histoire pourrait être déclinée en 6 volets. Aujourd’hui avec la fermeture début 2014 du studio Irrational Games, à l’origine des trois Bioshock, l’avenir est assez incertain pour cette série. Il fut un temps longtemps évoqué un film autour de Rapture mais aujourd’hui très peu d’informations circulent. D’abord annoncé comme annulé en mars 2013, en avril 2014 Sony Pictures Entertainment réserve les noms de domaines « bioshock-movie.com »,  » « bioshock-movie.net » et « bio-shock.net ». Seul l’avenir nous le dira mais aujourd’hui il faut savourer Bioshock Infinite comme si c’était le dernier.

Bioshock-infinite-screen-8Si vous voulez un nouveau Bioshock il vous reste encore la possibilité d’aller prier.

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 Euh... On n'est pas à Rapture ?

Un très bon jeu fun et sympa. L'ambiance est très différente des anciens Bioshock, on aime ou on n'aime pas. Il ne révolutionne pas le genre mais il a le mérite de proposer un scénario complet et complexe, d'être vraiment beau graphiquement et de disposer d'une bande son sublime. A cela on peut ajouter le personnage d'Elizabeth qui est sûrement l'un des personnages les plus intéressant du monde vidéoludique de part sa psychologie, son importance dans l'histoire et son intérêt pour le joueur. Pour moi elle vole carrément la vedette au héros que l'on incarne. Elle mériterait vraiment qu'on la retrouve un jour dans un autre Bioshock.

  • Ambiance
    8
  • Gameplay
    7
  • Graphismes
    9
  • Musiques / Sons
    9
  • Notes des internautes (3 Votes)
    9.7
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